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Djè SaintJames

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Djé SaintJames est né à Marseille, le 26 juillet 1974. Cet artiste dispose de plusieurs cordes à son arc ; musicien, chanteur, peintre, acteur et écrivain ; une pluridisciplinarité étonnante.

Très tôt il s’intéresse à l’art.

Il débute le violon et obtient dès ces 7 ans le premier prix de violon au conservatoire de Musique de Marignane sous la direction Yvon Strauss jusqu’à ces 11 ans.

Puis, il fait du théâtre pendant 5 ans l’Ecole d’Art Dramatique (EAD) dirigé par Pierre-Marie Dupré. Sa marraine n’est autre que Claude Gensac. Il obtient des petits rôles au côté de Michel Galabru, Jean Lefebvre, Denise Grey, Aldo Maccione, Jean Le Poulain.

En parallèle, il travaille le piano en autodidacte, pendant 4 ans puis ’inscrit à l’Institut Musical de Formation Professionnel (IMFP) en 1994. Il suit des formations avec Michel. Petrucciani, Gilles Labourey, Pierre Cammas.

Edition Electrum, Djé SaintJames, peinture numérique, Physalia, roman d'anticipation

Par la suite, il monte son groupe, Physalia en 1996, avec lequel il sort trois albums dont « L’Ecume des nuits » qui connait un grand succès parmi les amateurs de rock ainsi qu’un clip « Mon Etoile » qu’il écrit, réalise et produit et pour lequel il recevra le prix du clip Under Ground 2011. Il fait les premières parties de Noir Désir.

En 2013, il décide de se mettre à la peinture en inventant une nouvelle technique numérique et enfin écrire un roman qu’il va publier cette année et réalise l’album d’illustration de Renaud en même temps.

Mais le piano, la composition, l’écriture et le chant le dévoilent.

 

La musique

PHYSALIA, groupe originaire de la région PACA (Provence-Alpes-Côte d'Azur) où le soleil n'est pas le seul à briller, né en 1996, est une bulle musicale, qui au gré des notes, vagabonde d'un Rock à un Heavy Métal (Décadence, Marche ou crève), délicatement poussée par un courant Progressif aux atours psychédéliques (Merci Seigneur). Mais aussi de quelques ondes Jazzy (Megalostar). Djé Saint James fédère le groupe. Il est le clavier, compose, écrit, chante et produit les clips.

Il se forme en écoutant Pink Floyd, Brel, Férré et lit Baudelaire, Prévert. Il aime les mots, joue avec et trouve que le chant en français pour les groupes de metal/rock n’est pas si fréquent. Pour lui il est primordial de pouvoir marier les textes en français et le rock anglo-saxon.

L’écume des nuits (2009) reçoit le prix du clip Under Ground 2011

Relativement sombres dans l'ensemble (Merci Seigneur), les 10 compositions alternent en leur sein la sérénité et le tourment. Etats "émotionnels" que nous retrouvons avec des passages virils où les nombreux morceaux de guitares, le plus souvent Heavy mais où pointent parfois des ambiances floydiennes (Mon Etoile), sont diaboliquement mélodiques. Une rythmique solide et tendue appuie ces guitares. Ces enchaînements calmes / nerveux sont toujours à-propos, conférant une homogénéité sans faille à l'album. Les claviers (du piano au clavecin) évoluent dans un registre plutôt 70's - 80's. Ils enveloppent l'ensemble guitares / rythmique et ne sont pas un simple faire-valoir. Ils créent une réelle atmosphère sur chaque titre. Des bruitages ici ou là se font entendre : final explosif sur Marche Ou Crève, des cloches sur Merci Seigneur, comme une sentence... Pour être complet, l'intro de Décadence, titre Heavy so french (nous pensons alors à tous les groupes du style Heavy du label Brennus) ouvre l'album avec ses voix d'opéra féminines. Les textes, en français, véhiculent des thèmes de notre époque, ou les maux de notre société l'emportent sur l'utopisme d'antan. Paroles pas toujours gaies ("bébé pleure, maman a bu" sur Munchausen) mais malheureusement réalistes.

Très théâtral, rafraîchissant, L'Ecume Des Nuits s'affranchit de toutes ces influences stylistiques citées pour laisser transparaître une écriture ambitieuse et épanouie. 

Il fait les premières parties de Shaka Ponk, de Noir Désir et de Eths

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La peinture

En parallèle l'innovation artistique l'attire dans un nouveau domaine dont il va devenir un précurseur en France, la peinture numérique. Ayant lui-même dessiné ses jaquettes de CD et la couverture de son roman il se mettra à faire des toiles dont il trouvera un support pour les matérialiser inédit avec une matière de toile particulière. Avec une généalogie qui l'honore en tant que petit cousin de Paul Gauguin du côté de son grand père maternelle il invente un style en peinture numérique, comme son illustre aïeul pour le modernisme, qu'il nommera le tradinumerique puisqu'il travaille sans souris mais uniquement à la main ( en écran tactile ) ce qui donne un effet organique à ses œuvres éloignées de la pixelisation et des effets numériques habituelles dans ce domaine.

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Lorsqu'on lui demande ce qu'est la peinture tradinumérique Djé SaintJames nous répond : 

"J'utilise des pinceaux, de la peinture, crayons, couteaux, éponges, pastels... mais avec des outils numériques ( et je détourne aussi des logiciels de leur activité première pour certains effets ) !

Je mélange et crée mes propres couleurs et je bosse mes lumières et les sentiments que je veux dégager dans ma toile, avec les teintes, les regards, les ambiances... ( roooo comme un " vrai " peintre alors ? )

Comme la guitare électrique et les claviers la peinture numérique est une évolution de l'art original, ce qui n'enlève rien au contraire même... est ce que Jimmy Hendrix avec sa gratte elec ou Rick Wright avec ses claviers ( Pink Floyd ) sont des sous produit de musicien par ce qu'ils ont utilisé des évolutions de leurs instruments.?

Il ne semble pas... ils ont même révolutionné l'instrument d'origine, je pense... la peinture n'est pas exsangue de l'évolution moderne malgré les supers puristes très critiques sur cette évolution qui ont peur d'être remplacé. Mais la guitare classique existe encore et le piano aussi...

Les complexité et techniques ainsi que les contraintes sont les mêmes en numériques comme en traditionnel et nous verrons fleurir de nombreux artistes qui choisiront ce type de peinture et je pense même à des hybrides numérique et traditionnelle... et tellement de belle chose encore...

Un art qui n'évolue pas est un art qui se meurt ! "

 

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L’écriture

Aucune prétention n’est liée à ce livre, vraiment aucune… J’ai même l’impression que cette histoire est aussi vieille que moi. Elle a toujours trotté et grandi en moi, me semble-t-il… C’est donc plusieurs rêves que je réalise avec ce « bouquin ».

Celui d’apposer ma signature sur une « prem’s de couv » ? Bien sûr ! Après toutes celles d’écrivains célèbres qui sont passés entre mes doigts, c’est assez fantasmagorique, c’est vrai ! Alors merci Messieurs Louis Ferdinand Céline, Stephan Zweig, Marcel Pagnol, René Barjavel, Bernard Werber, Boris Vian, Paolo Cohélo...

Mais à vrai dire je rêvais juste de faire rêver, un jour au travers d’un livre, comme j’ai pu le faire au travers de la musique. Comme je disais, aucune prétention n’entoure ce livre, mais bien des intentions…. Une assez folle, est de tenter de plaire tant aux « romanophages » qu’aux lecteurs occasionnels. Je le souhaite pour tous les âges, pour tout le monde. J’ai donc voulu une écriture particulière facile à lire et fluide quelque chose de frais, mais qui au détour d’une virgule et entre les lignes puisse aller au-delà des mots, au-delà de l’histoire elle-même pour ceux qui le veulent…

J’aime mélanger les genres comme dans les chansons que je compose … et je ne pouvais me résoudre à me cantonner à un style bordé et unique. Cela ne me ressemble pas et je voulais faire quelque chose qui me ressemble vraiment, quitte à déplaire aux puristes et aux critiques mais…peu m’importe en vérité, j’avais envie de vous faire plaisir en me faisant plaisir. J’ai donc pris le parti, puisque mon histoire était ainsi, de mélanger à ce roman d’anticipation, du romantisme, de l’action, de l’émotion, de la noirceur, de l’humour décalé. Je voulais également qu’il délivre un message positif, qu’il offre une pensée à partager, qu’il soit divertissant, qu’il soit sérieux, sans se prendre au sérieux, bref tous ces genres qui se croisent rarement dans un seul et même roman. J’ai fait le choix, donc, d’une écriture qui ne se cache pas derrière les mots, mais qui les met en scènes et en images. De ce fait peut-être ai-je tourné le dos à certains « principes » littéraires ? Mais je ne voulais faire aucune concession sous prétexte d’un premier roman et du respect dû à mes pairs… je vous souhaite donc la bienvenue au fin fond de moi, dans mon monde, mes émotions, mes convictions, mes mots, mes rêves qui deviendront, peut-être un peu les vôtres, au fil des pages, si vous décidez de tourner celle-ci. Mais sachez qu’une fois votre décision prise, plus aucun retour ne sera possible…

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Djé SaintJames.

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